VOS CONTRIBUTIONS :

Vous trouverez ci-dessous les articles ou les messages que nos amis nous font parvenir ,d'un peu partout.Et aussi des articles correspondant à notre combat qu'on aura glané çà et là... Tout ce qui peut amorcer les discussions autour de nos objectifs .

Un échange entre un de nos visiteurs et la rédaction du site:

Visiteur : ...mais il ne faut pas exagerer en nous volant le droit d'être arabe. 

La rédac. :... nous essayerons d’apporter une réponse empreinte de sincérité et de cordialité.

Découvrir les détails de cet échange >>>

Boualem Bourouiba. Membre fondateur de l'UGTA, il jette un regard sans complaisance sur l'activité syndicale 

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La dernière interview de Mouloud Mammeri

Extrait de www.tamazgha.fr :
"Cela fait 17 ans que Mouloud Mammeri nous a quittés : c'était un certain 25 février 1989. La mort était alors venue nous l'arracher alors que Tamazight avait encore besoin de lui. Ce 25 février 1989, son "destin" rencontre un arbre sur la route qui devait le mener d'Arif à la Kabylie, un arbre qui lui coupa ainsi la route et que sa voiture percute... Et c'est là qu'est mis fin à la vie de celui qui a joué l'un des rôles les plus important dans la construction de l'identité amazighe (...)" Découvrir >>>

 

ILS continuent !!!

Un communiqué du CMA sur des incidents (c'est peu dire) au tribunal d'Oran . Lire >>>

Le présent que nous apporte notre ami Boualem:

L’un des fondements de la politique de l’Algérie algérienne est la reconnaissance officielle des deux langues maternelles du peuple algérien. La mobilisation populaire a fini par imposer, au régime algérien, l’institutionnalisation de l’une d’elles , Tamazight, en tant que langue nationale, même s’il continue à tergiverser quant à sa prise en charge réelle par l’État. La deuxième langue, que les linguistes appellent « maghribi » et qu’on continue à désigner abusivement par « arabe algérien » ou « darija », n’a malheureusement pas bénéficié à ce jour d’un large mouvement revendicatif et souffre d’une confusion avec la langue arabe dite « Fosha », qui n’est langue maternelle d’aucun Algérien , et qui bénéficie ,indûment, du statut de langue nationale et officielle. Abdou Elimam, brillant linguiste, enseignant et chercheur de l’université d’Oran, et un des plus illustres spécialistes et défenseurs de cette langue maghribi, a publié un excellent ouvrage intitulé :« Le maghribi alias  ed-darija (la langue consensuelle du maghreb»*, dans lequel il défend la nécessité de la reconnaissance de cette langue dont il fait remonter les origines , non pas à l’arabe, mais au prestigieux punique, langue de Carthage qui fut même utilisée par les royaumes numides de l’antiquité aux côtés de tamazight. Afin de donner aux partisans et sympathisants du RAAF, ainsi qu’à tous les défenseurs de l’algérianité, un aperçu des idées défendues par le professeur Abdou, nous reproduisons ici, avec son aimable accord, l’annexe « foire aux questions à propos du maghribi », dans laquelle il répond à un certain nombre de questionnements.

* Le maghribi alias « eddarija » (langue consensuelle du maghreb) , Éditions Dar El Gharb ( Septembre 2003)

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Voici le texte d'un ami,publié sur kabyle.com ,dans un forum de discussion autour d'un document de Me Rachid ALI-YAHIA sur la culture algérienne.

10 décembre 2005, par Youssef At Wragh

Bonjour,

Ce texte du militant de la première de l’Algérianité et donc, trêve de bêtise, de l’amazighité, est un chef d’oeuvre d’une rare clairvoyance. Oui messieurs, les sentimentalistes , la culture Algérienne est Une dans son fondement amazigh et les apports de son histoire, et diverse dans son expression : 2 langues nationales "TAMAZIGHT" et "L’ARABE ALGÉRIEN" , et des spécifités régionales qui font sa richesse et sa beauté. Militer pour Tamazight en Algérie c’est militer pour une Algérie réconciliée avec sa culture, ses langues et son histoire. La Kabylie est une région qui nous est chère mais elle reste une région d’Algérie qui s’épanouira avec le reste de l’Algérie ou ne s’épanouira pas. Certains ,opportunistes ou simplement découragés par la longévité de la dictature, pronent la séparation sans réfléchir à la réalité de l’Algérie en général et de la Kabylie en particulier.L’idée de cette Algérie que nous voulons fait bien son chemin , si le pouvoir a été obligé de reconnaitre le caractère national de Tamazight ce n’est pas pour faire plaisir à certains mais parce que réellement elle est de plus en plus ressentie comme telle à travers l’Algérie surtout chez les amazighophones mais aussi chez les arabophones. La lutte pour arriver à l’Algérie Algérienne telle que défendue par Maître Rachid Ali-Yahia depuis les années 40 avec notamment les martyrs Bennaï Ouali et Amar Ould Hamouda et tant d’autres prestigieux miltants , est toujours d’actualité et son aboutissement est certain quelles que soient les embûches. Une Algérie Algérienne fraternelle oû amazighophones et arabophones vivent dans la dignité, la justice , la démocratie et le respect de leur personnalité et de leur diversité régionale, Voila un bel obectif pour lequel ont donné leur vie nos aînés et qui mérite qu’on le poursuive ! Merci

Notre ami Boualem attire notre attention sur la parution d'un livre ...

Ce livre d'art vient à point pour donner une assise à la littérature d'expression amazighe non seulement par l'acte d'écrire dans la graphie ancestrale et la stylisation moderniste de la calligraphie tifinaghe, mais aussi par le récit d'une renaissance des valeurs d'union et d'entraide, d'une autorégulation de la communauté. Ces valeurs ont assuré, et depuis des siècles, la cohérence et l'équilibre de notre société, un legs dont les proverbes et les dictons amazighes témoignent encore.

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Dans "La dépêche de Kabylie":

Les conditions de production de la littérature kabyle LIRE >>>

 

Une interview dans La depêche de ce jeudi 02/02/2006

«Tamazight est sur la bonne voie»